Dans son discours à la Nation du jeudi 12 septembre, le président Bassirou Diomaye Faye a annoncé la dissolution de l’Assemblée nationale et fixé la date des élections législatives au 17 novembre. Cette décision a suscité diverses réactions parmi les populations. Beaucoup ont qualifié cette dissolution de « logique », estimant qu’elle permettra au chef de l’État de « mener à bien son mandat sans entraves ».
Selon eux, « l’Assemblée nationale était perçue comme une entrave au bon fonctionnement de la politique gouvernementale ».