Galsen, c’est avant tout son image carte postale de terre de la Téranga. Et puis il y a aussi… ce côté idyllique d’un coin où l’on retrouve les plus belles femmes du monde, en tout cas les plus « diongués ». Elles sont gracieuses, élégantes, séduisantes, coquines… Elles sont tout cela. Galsen, une terre où il fait bon vivre malgré nos différences religieuses et politiques et qui se targue de 90% de musulmans parmi lesquels des « musulmenteurs » et bons viveurs comme nous qui ne vont à la mosquée que le vendredi. Les 10% autres sont chrétiens, animistes et athées. Ce qui fait d’ailleurs le charme de ce coin à nul autre pareil. Vous en
connaissez un autre, vous, dans ce monde et qui est comme Galsen ? Après avoir traversé l’enfer avec l’ex- Chef, tout ce à quoi on aspire aujourd’hui, c’est de bien vivre en oubliant une gouvernance désastreuse sans précédent dans l’histoire politique du Sénégal.
Ce que ce pays a vécu entre mars 2021 et février 2024 restera dans les pages les plus sombres de notre jeune nation. Et ce sont des personnes qui ont servi cette gouvernance avec obséquiosité, faisant souvent preuve de félonie qui accusent de dictature un régime ayant fait moins de six mois aux affaires. Ce alors qu’ils la fermaient quand on jouait avec la Constitution à laquelle ils faisaient dire ce qu’ils voulaient. Oui ce qui arrangeait leur Chef. Cette charte fondamentale, ils l’ont si bien malmenée qu’un ministre parmi eux avait la triste réputation d’un tailleur qui pouvait la rapiécer à sa guise. Cinq mois après la troisième alternance sans bavure intervenue dans l’histoire de notre pays, plutôt que de se consacrer à l’essentiel et travailler à relancer une économie très mal en point, y en a qui jouent aux oiseaux de mauvais augure. On peut avoir l’impression avec certaines déclarations de haineux qui peinent à se remettre de leur cuisante défaite de mars 2024 que ce charmant pays marche sur une route escarpée qui mène inéluctablement au désastre. Les mêmes qui qualifiaient ceux qui sont au pouvoir depuis mars de fascistes, islamistes ou d’ennemis
des confréries, ont repris leurs plumes et se révèlent plus hystériques qu’avant. D’autres nous présentent un pays à la porte de l’enfer, traduisant
ainsi leur funeste rêve de voir ce pays s’embraser.
La guerre des religions ou entre confréries que
dessinent des Cassandres n’aura pas lieu. Il est
temps d’arrêter les scribes aux écrits dégoulinant
de rancœurs mal contenues. Il urge de dépassionner ce débat religieux qui n’apporte rien à cette.belle terre de Téranga aux femmes incomparables. Cette harmonie religieuse, c’est ce que nous avons de plus précieux à conserver. En plus bien sûr de nos femmes si charmantes !
kàccoor bi – le temoin