On commence par où ? A Galsen ou chez le vieux président Obiang? Occupons-nous d’abord de nos questions domestiques avant de faire le voyage en Guinée Equatoriale où il se passe d’intéressantes choses et où également les meufs sont loin d’être prudes et paraissent plus canailles que celles de chez nous. Dans ce doux pays des paradoxes qu’est Galsen, l’actualité se résume à la campagne électorale avec des acteurs de la politique dont
certains ne voient pas plus loin que le bout de leur nez.
Ils sont irrécupérables !!! La réflexion soutenue, ce n’est pas leur fort. Toujours là à aboyer et à gesticuler comme des forcenés. A hurler pour se faire entendre pendant que d’autres s’exercent à des danses canailles avec des ralliements, tortuosités et contorsions dignes des rac0leuses. Espace de confrontation des idées avec différentes chapelles, la politique s’est muée en terreau de dogmatisme. La contradiction se règle à coups de pierres, couteaux et machettes. Pour un rien, le sang gicle si ce ne sont pas des pyromanes dans leurs sales œuvres. On pourrait bien se passer de ces barbaries pour une campagne civilisée avec de belles idées à vendre. Et ce même si certains de ces candidats à la députation proposent plus qu’ils ne peuvent offrir. Leurs champs d’action étant très limités pour nous
promettre la lune. Malgré tout, ils y vont à fond la
caisse avec des électeurs fort crédules à qui l’on vend du… vent. Ennuyeux, non ?
Fort heureusement, il n’y a pas que ça à Galsen. Depuis le weekend end, ça discute de galipettes. Une spécialité sénégalaise qui fait l’attrait de ce charmant pays. C’est carrément la folie sur la Toile. Même si l’histoire nous vient d’ailleurs, la fièvre s’est emparée des canailles. Des centaines de vidéos intimes ont fuité sur les réseaux sociaux, dans lesquelles l’Equato –Guinéen Baltasar
Ebang Engonga, fils d’un neveu du président Obiang, s’affiche avec des épouses ou des filles de ministres, dignitaires ou généraux. Un scandale devenu une affaire d’Etat. Bien entendu, à Galsen où l’on aime les galipettes, on ne s’ennuie pas. Les vidéos des écarts du mec surnommé « Bello » du fait de son physique avantageux – Ah, les femmes !!- se partagent sur les réseaux sociaux qui s’enflamment des performances du beau « Bello ». Autant dire que ça crame et tout le
monde zieute sans retenue.
kàccoor bi – le temoin