A la suite des révélations du ministre Abdourahmane Sarr, estimant qu’entre 2019 à 2024, de faux chiffres ont été présentés par le pouvoir sortant. Certains ont jugé que cela interpelle directement « le ministre Cheikh Diba en tant que Directeur de la programmation budgétaire sous l’ancien régime ». Allant même jusqu’à dire que « sa démission devrait être la conséquence logique ».
Toutefois, il y a un décret qui prouve que M. Diba n’a aucune responsabilité directe sur les chiffres évoqués dans certaines transactions ou dossiers budgétaires.
Ce décret datant du 21 janvier 2019, clarifie son rôle et apporte des réponses aux interrogations soulevées sur lui. Le décret, émis par une autorité compétente, stipule clairement que Cheikh Diba « n’a aucune responsabilité directe dans les décisions budgétaires ou la gestion des chiffres » évoqués dans les transactions ou rapports économiques dont il a été question. Il précise que ses attributions sont strictement limitées à des conseils techniques et à des analyses, sans implication dans la validation des données financières officielles.
Ce décret met également en avant, le fait que les chiffres en question relèvent de la responsabilité exclusive du Service de Programmation Budgétaire, qui travaille pour l’Assemblée nationale et supervise directement les décisions financières du pays. Ce service est chargé de la collecte, de l’analyse et de la validation des données budgétaires, avant leur soumission pour approbation, au Parlement.
C joint le décret