Les droits et libertés fondamentaux que je défendais pour l’ami, le frère Ousmane SONKO aujourd’hui Premier ministre du Sénégal, je les défends pour ce Monsieur que je ne connais pas.
Nos FDS avaient les moyens, pouvaient retenir ce Monsieur sans heurts, lui permettre d’entrer à Bakel sans soucis et faire ses activités avec les compatriotes de son choix.
Je ne peux défendre un principe, l’enseigner à l’université, le pratiquer devant les juridictions, et le vouloir seul pour un proche et non pour un inconnu.