Allô Galsen, comment ça va ???????????? Pas de doute, ça caille et pour se réchauffer, il n’y a rien de mieux qu’une séance de catch avec à l’affiche des délurées féministes qui s’enflamment pour une note de service. Il me semble l’avoir seriné dans ces colonnes, mais la répétition étant la mère de l’apprentissage, je me répète. Vous savez certainement ce que Kàccoor Bi pense de nos féministes locales et surtout celles d’entre elles qui sont « radicales ». Ou folles furieuses, c’est selon. J’attends toujours que ces enragées m’expliquent ce qui les différencie des autres qui se prétendent telles. Molles, tendres, voire douces, assumées ou non assumées. Là se trouve certainement la différence. Depuis que certaines des pionnières se sont retrouvées dans des ménages polygames, je me disais qu’il n’existait plus de meufs se réclamant de ce mouvement. Mais apparemment, y en a qui s’accrochent encore à ces combats d’occidentales pendant que les pionnières se sont mises dans les rangs, gérant leurs Alaaji Aas avec force « Jongé ». Vous voulez des noms ? Regardez autour de vous… Pour en revenir à ce qui me fait sortir du bois, juste un réaménagement d’horaires pour que ces généreuses cheffes de familles aimantes puissent s’occuper de leurs foyers en ce mois béni du Ramadan. Et voilà que de prétendues féministes, toutes griffes dehors, se jettent sur le gringalet directeur du Port Autonome de Dakar. Elles nous sortent un vocabulaire désuet au contenu occidental. Ça parle de sexisme et autres notions galvaudées qui ne veulent rien dire. Pas en tout cas à la majorité des femmes de ce charmant pays qui ont d’autres préoccupations que celles de ces enragées. De leur statut usurpé de féministes dans ce beau pays, il est temps qu’elles le rangent aux vestiaires pour se soumettre à la dure loi de la majorité qui se fout royalement de ces considérations d’Européennes. Ces femmes que nous aimons tiennent à leurs foyers et entretiennent leurs alcôves par de puissantes senteurs qui nous rendent si doux. Et tant pis pour celles qui s’essaient à se mesurer aux mecs. Le bonheur est dans le… pré et ça ne se passe nulle part ailleurs qu’entre quatre murs. Bon Ndoggu et merci à ces valeureuses femmes sans qui la vie sur terre serait si morose que celle de ces féministes enragées qui passent à côté du bonheur sur terre en se dressant contre les hommes. Un combat pour le moins improductif dans cette belle terre qu’est Galsen.
KACCOOR BI, LE TEMOIN